L’équipe Apicolipid, membre de ParaFrap (Institute for Advanced Biosciences, CNRS/Inserm/ Université Grenoble Alpes), associée à des chercheurs de l’université de Melbourne, vient de publier deux études dans les revues Cell Microbiology et PLOS Pathogens. Ces travaux montrent que pour leur survie, les parasites responsables du paludisme et de la toxoplasmose dépendent de mécanismes hérités du monde végétal. Cette découverte représente une avancée majeure pour le développement de nouvelles cibles thérapeutiques contre ces parasites aux conséquences majeures en santé publique.
Ces travaux ont fait l’objet de nombreux communiqués de presse, que vous pouvez retrouver ICI.
Références :
Characterization of the Plasmodium falciparum and P. berghei glycerol 3-phosphate acyltransferase involved in FASII fatty acid utilization in the malaria parasite apicoplast, Shears MJ, MacRae JI, Mollard V, Goodman CD, Sturm A, Orchard LM, Llinás M, McConville MJ, Botté CY*, McFadden GI*. Cell Microbiology, 20 juin 2016. Link
Apicoplast-localized lysophosphatidic acid precursor assembly is required for bulk phospholipid synthesis in Toxoplasma gondii and relies on an algal/plant-like glycerol 3-phosphate acyltransferase, Amiar S, MacRae JI, Callahan DL, van Dooren GG, Shears MJ, Dubois D, Cesbron-Delauw MF, Maréchal E, McConville MJ, McFadden GI, Yamaryo-Botté Y*, Botté CY*. PLOS Pathogens, 4 août 2016. Link